Cadillac Eldorado

L’Eldorado est dotée d’un V8  de 8,2 L  affichant une puissance de 400 ch pour un couple de 77 mkg ! C’est alors le plus gros moteur automobile construit de série. Refondue complètement en 1971, le style de la face avant du modèle précédent est repris avec des phares ronds placés dans des logements carrés, une calandre rectangulaire et des gardes de pare-chocs verticaux. C’est une nouvelle voiture qui sort de l’usine de  Linden (New Jersey) où elle est fabriquée. Les années qui suivent, voient quelques retouches souvent au niveau de la calandre : en 1972 elle reçoit des barres verticales plus marquées, en 73, c’est un nouveau dessin,... La Cadillac Eldorado reçoit une nouvelle calandre, des pare-chocs conformes à la nouvelle réglementation, ce qui entraine de nouveaux combinés clignotants/veilleuses horizontaux sur le bord d’attaque des ailes avant. Du fait du nouveau pare-chocs, l’arrière est également revu et redessiné. 

Pour l’année 75, la Cadillac Eldorado est une fois encore restylée.  La face avant est  profondément modifiée avec la mise en place de phares rectangulaires, l’implantation des feux de position et des clignotants  dans le pare-chocs et une calandre nouvelle au maillage plus serré. Voila pour le gros oeuvre. Cependant de nombreux points de détails viendront s’ajouter comme la baguette latérale qui ne coure désormais plus qu’entre les passages de roues avant et arrière. Un autre détail non négligeable toutefois réside dans  la vitre de custode qui est plus large. En raison des nouvelles normes fédérales antipollution, la puissance du V8 de 8,2 litres se voit réduite à 238 ch.  

Pour les amateurs du genre, la Cadillac Eldorado fait rêver. Grande, large, longue, cette auto mérite tous les superlatifs et il est clair qu’à son volant on ne passe pas inaperçu ! La dotation en équipement est somptueuse, le confort offert par les assise irréprochable et les passagers sont à l’aise  ... mais, on aime ou on n’aime pas c’est une question de gout car et on ne peut lui reprocher, la Cadillac demeure dans son caractère une voiture américaine. A notre avis ma qualité des matériaux employés, des plastiques principalement ne peut rivaliser avec les productions haut de gamme de l’ancien continent. De plus, notre modèle présentait un état irréprochable. Enfin, la Cadillac impose un style de conduite qui n’est pas semblable à ce que l’on peut voir dans les séries américaines où drift en tout genre permettent au conducteur d’exprimer son talent. La suspension nous semble trop souple à l’instar de toutes les américaines que nous avons conduites